Personnellement, je l'attendais mon nouvel Heimdall, qui esperons le, sera le digne successeur de l'excellent Almighty.
Hard As Iron est donc le nom du quatrième volet des italiens. A la première ecoute, et indéniablement, le son est plus puissant, plus fort, voire gigantesque. Beaucoup plus Heavy que Almightyet sans excés de trucs en tous genres (orchestre, clavier, choeurs, etc...) pour rendre l'album plus attrayant, Heimdall a misé sur le talent du vocaliste Giacamo et d'une charmante demoizelle en back pour faire de Hard As Iron un livre que l'on conte au coin du feu sur un rocking-chair, avec papi, au loin, qui prépare la tasse de cacao pour les petits enfants...
Le groupe a fait appel au même choeur théâtral que son prédécesseur, l'orchestration est parfaitement gérée par les mains du maître Sergio Duccilli, et les mélodies toutes plus impeccables les unes que les autres. Charmeur, envoûteur, prenant et puissant, vous l'aurez compris ce Hard As Iron est un très bon album, qui ravira les fans de power mélodique. La voix de Giacamo restera unique; un vrai bonheur de l'écouter s'exercer en a capella.
La qualité du groupe n'est plus a démontrer au vue de cet opus, l'image de Rhapsody, qui collait à la peau du groupe depuis leur début, est ainsi effacée: Heimdall fait du Heimdall. Bonheur assuré pour les fans du style, Heimdall est un grand cru et le restera.Duck